C’est en 1957 que Frederick Crane, chercheur de l’Université du Wisconsin à isolé de Coenzyme Q10 dans les mitochondries d’un cœur de bœuf, mais ce sont les Japonais, dans les années 1960, qui ont découvert ses propriétés bénéfiques au niveau du cœur.

En 1978, Peter Mitchell reçut le Prix Nobel pour son étude sur la compréhension de la production d’énergie dans l’organisme avec notamment le rôle primordial joué par le Coenzyme Q10.

Le Coenzyme Q10 est également un puissant antioxydant luttant contre les radicaux libres, source du vieillissement, capable de réactiver la Vitamine E usée pour renforcer son action antioxydante.

Des études ont démontré que le Coenzyme Q10 permet :

• de lutter contre le vieillissement,
• de contribuer à augmenter l’énergie,
• de participer à maintenir une bonne santé du cœur,
• d’aider à réduire l’hypertension artérielle,
• d'avoir un effet bénéfique contre la migraine,
• d’agir contre le vieillissement et la diminution des rides sur le visage,
• d’améliorer les performances physiques et la récupération après l’effort,
• d’avoir un effet hypoglycémiant sur les personnes atteintes de diabète type 233,
• d’agir de façon bénéfique sur les maladies des gencives,
• de réduire la toxicité de certains traitements anticancéreux, notamment sur les anthracyclines.

Dans les années 1960, on a aussi découvert que certains malades atteints de divers cancers (sein,  prostate, pancréas, poumon, rein, etc...) avaient généralement des taux de Coenzyme Q10 très bas.

La production de Coenzyme Q10 augmente les 20 premières années de la vie, puis diminue progressivement entre 30 et 80 ans, pour atteindre plus que 60 % vers l’âge de 80 ans ; il doit donc être apporté par le biais de complexes nutritionnels, car son apport via l’alimentation est généralement insuffisant (de 3 à 10 milligrammes par jour). 

Certains médicaments peuvent réduire le taux de Coenzyme Q10 dans l’organisme (statines, bêtabloquants, antidépresseurs, etc…).

Il en est de même pour d’autres facteurs comme l’effort physique extrême, le stress, la consommation accrue d’alcool ou de tabac, les drogues, et certaines maladies spécifiques.

Avec le Coenzyme Q10, le Collagène contribue au rajeunissement de la peau, en favorisant la production de Collagène naturel et en luttant contre de nombreux facteurs tel le stress, la mauvaise alimentation, les insomnies, les U.V., l’alcool, le tabac, etc…

Le Collagène (du grec Kolla, signifie « producteur de colle ») est la protéine fibreuse et insoluble la plus abondante dans la matrice extracellulaire de la peau, comme l'élastine et l'acide hyaluronique, et a pour fonction de conférer aux tissus une résistance mécanique à l’étirement et indispensable au processus de cicatrisation.

Cette protéine confère aux différents tissus (os, cartilage, peau, muscles, etc…) une bonne cohésion.

Le Collagène est conseillé aux personnes âgées et aux sportifs, car il favorise la stimulation de la synthèse endogène qui permet de reconstituer l’os (notamment en cas d’ostéoporose), et à des effets bénéfiques sur le confort articulaire et la mobilité des articulations.

De plus, avec l’âge, les interactions existant entre ces fibres protéiques et les fibroblastes diminuent entrainant un relâchement du réseau dermique.

Une peau jeune, en raison de sa teneur élevée en eau, contient 80 % de collagène de type I et à partir de 30 ans, la capacité de renouvellement du collagène diminue d’environ 1 à 1,5 % par an.

Proksch et al. (2014), démontra que la consommation de Collagène améliore l’élasticité de la peau, notamment chez les femmes de plus de 50 ans.

Le Collagène est donc important pour la jeunesse de la peau.

L’Acérola, originaire de l’Amérique centrale et des Caraïbes contient jusqu’à 60 fois plus de Vitamine C qu’une orange !

L’extrait sec d’Acérola, riche en propriétés antioxydantes est essentiel à la synthèse du Collagène.

La Quercétine est réputée pour être le plus actif des flavonoïdes, et a de nombreux effets bénéfiques sur l’organisme, notamment :

• l’amélioration du système antioxydant chez les personnes souffrant de sarcoïdose (Baugman & al, 2003),
• le renforcement de la paroi des capillaires afin de réduire leur perméabilité,
• la régulation du système immunitaire,
• l’action bénéfique sur le stress oxydatif en piégeant les ERO (Espèces Réactives de l’Oxygène),
• la réduction des inflammations,
• la baisse de la pression artérielle chez les personnes hypertendues (Edwards & al, 2007),
• la diminution des troubles coronariens (protection cardio-vasculaire).

Associée à la Vitamine C, elle améliore son absorption et en retarde son élimination par l’organisme.

Malgré que puissant antioxydant soit présent dans l’alimentation (oignon rouge, pomme, raisin, câpre, piment, thé vert, …), il est quasi impossible d’avoir un apport comparable à une complémentation nutritionnelle (il est impossible de manger plusieurs kilos de piments chaque jour !).

La Vitamine E, aux propriétés antioxydante, anti-inflammatoire et vasodilatatrices contribue à protéger les cellules du stress oxydatif, réduit l’oxydation, joue un rôle de cardioprotecteur, et contribue au bon fonctionnement du système immunitaire.

Le rôle des Oméga 3 est multiple, outre notamment la régulation de la tension artérielle, la protection immunitaire ou l’élasticité des vaisseaux, ils sont indispensables au bon fonctionnement et développement du cerveau et à l’intégrité du système cardiovasculaire.

Coenzyme Q10+ est un complexe synergique original pour entourer ce coenzyme si important à l’organisme

d’une batterie et de protection au stress oxydatif.

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